Nicolas Théry (président de Crédit Mutuel Alliance Fédérale), Patrick Morel (président du district de Metz) et Marie-Lorraine Kerr (responsable du pôle lecture de la Fondation du Crédit Mutuel) ont lancé la 11ème édition de la Nouvelle de la Classe - Crédit photo : CNCM

Lors du salon « Le Livre sur la Place », le District de Nancy (DRO) et la Fondation du Crédit Mutuel ont lancé la nouvelle édition du concours « La Nouvelle de la Classe ».

En tant que partenaires du salon littéraire « Le Livre sur la Place », le District de Nancy et la Fondation du Crédit Mutuel ont tenu un stand du 13 au 15 septembre. La promotion de la lecture, une priorité pour le groupe depuis plus de 25 ans, était à l’honneur. Environ 4 000 personnes ont échangé avec les élus et les salariés présents. L’implication de notre Groupe a été reçue très positivement, à la fois par des clients découvrant une autre facette de leur banque et par le grand public appréciant l’implication d’une entreprise dans cet événement culturel local.

Une équipe d’élus et salariés de la DRO (Direction Régionale Ouest) a promu les activités du Crédit Mutuel et de sa Fondation lors du Livre sur la Place - Crédit photo : CNCM

Nicolas Théry, président de la Confédération Nationale du Crédit Mutuel, a saisi cette belle opportunité pour lancer l’édition 2019-2020 de « La Nouvelle de la Classe ». Notre président s’est réjoui de l’engouement pour ces événements littéraires. Ce concours encourage les plus jeunes à la lecture et à l’écriture créative. Organisé par la ville de Nancy, il invite les élèves de CM1 et CM2 de la région Grand Est à rédiger collectivement la suite d’un texte. Les immortels de l’Académie Française choisiront, en fin d’année scolaire, la meilleure histoire proposée.

Avec cette manifestation phare en Lorraine, le Crédit Mutuel réaffirme son soutien aux actions culturelles.

Découvrez les incipits proposés aux élèves

« J’ai retenu ma respiration, fermé les yeux et fais le vide dans ma tête, pour avoir toutes les chances de réussir cet exploit insensé. » (Sorj Chalandon)

« Quand, ce matin-là, il ferma la porte avec douceur, neutralisant tout bruit, et qu’il se mit à marcher, les yeux aux aguets, dans la ville déserte, il sut que rien, désormais, ne serait plus pareil. » (Christophe Ono-dit-Biot)